Traduit du japonais et présenté par Daniel Struve
En cette fin du XVIIe siècle, Saikaku jette un dernier regard, désabusé et tendre, sur les quartiers de plaisir, monde de beauté et théâtre d’illusion où les fils de marchands achètent chèrement le privilège de passer pour les plus fins connaisseurs de la Voie de l’amour.
Car on ne suit pas impunément jusqu’au bout la route qui mène à la volupté que dispensent courtisanes et jeunes acteurs.
I. Amours des samouraïs
II. Amours des acteurs