Texte et illustrations de Sano Yôko
Traduit du japonais par Mina Ozawa, en collaboration avec Corinne Quentin
Ce chat japonais a connu, non pas neuf vies, mais un million de vies. Ce conte d’inspiration bouddhiste, au ton que nos surréalistes qualifieraient volontiers d’humour noir, est un classique au Japon, où il s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires.