Deux des plus célèbres récits de l’auteur du Clan du sorgho. Mais le « Noireaud » du Radis de cristal semble tout droit sorti d’un conte mystérieux.
Dans l’univers frustre d’une campagne chinoise, un enfant vagabond qui ne communique jamais par la parole s’émeut d’une caresse, d’un crépitement, de brèves émotions furtives, décrits dans leur plus grande tendresse comme dans leur plus grande cruauté.