Nulle pornographie, nulle grossière scène de sexe dans ce roman ! Dans le Tôkyô de l’après-guerre, une folle succession d’épisodes picaresques illustrent la défense d’un « humanisme » à la japonaise : une bande de compères tranquilles se fait « missionnaire du sexe » et trafiquants – pornographes pour l’art et le bien de l’humanité. Un métier qui vous prépare une place au paradis !
Mishima avait applaudi à ce premier roman scélérat enjoué comme un ciel de midi au-dessus d’un dépotoir.