Traduit du japonais par Elisabeth Suetsugu
En 1910, hospitalisé pour une grave maladie qui met ses jours en danger, Sôseki note au quotidien l’évolution de son état et ses réflexions. Ce qu’il tente de retenir avec tant de hâte, malgré son extrême faiblesse, c’est bien sûr le miracle de la vie rendue, mais surtout la clarté pleine de grâce qu’a atteinte sa conscience libérée de la pression de la vie réelle par cette expérience si particulière de la maladie.
La presse en parleou Le Voyage poétique
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