Roman traduit du japonais par Dominique Palmé
Collection Unesco d’OEuvres Représentatives
« L’été c’est la nuit… » Cette oeuvre débute par une plongée dans les ténèbres de la mémoire. On songe évidemment, devant cette « recherche du temps perdu », à Proust avec qui Nakamura présente bien d’autres affinités.
Ce roman, second d’une tétralogie intitulée « Les quatre saisons », est une des oeuvres majeures de la littérature japonaise contemporaine. Il reçut le prix Tanizaki en 1978.