Né le 26 décembre 1944 en Mongolie Occidentale, Galsan Tschinag a publié une douzaine de livres en mongol et en allemand. Descendant d’une famille d’éleveurs touvas, il s’est fait l’ardent défenseur des coutumes de son peuple face aux dangers de la modernisation.
Collection(s) : Picquier Poche
208 pages / 7,10€
ISBN-13 : 978-2-8097-0328-3
Date de parution : février 2012
Rassembler son peuple dispersé, les Touvas de Mongolie, et les ramener à la terre de leurs ancêtres, tel est le rêve que portait en lui Galsan Tschinag. En 1995, le rêve s’accomplit. Ce livre conte l’épopée de cette caravane à travers steppes, déserts et montagnes, jusqu’au pied des glaciers de l’Altaï, berceau des origines.
Collection(s) : Picquier Poche
Traducteur(s) : VUATHIER Dominique
160 pages / 6,10€
ISBN-13 : 978-2-87730-960-8
Date de parution : août 2007
Galsan Tschinag nous raconte des histoires de chasse, de poursuite, de vie et de mort, puisées au souvenir d’hommes aussi rudes que les terres de feu et de glace où ils vivent. Il nous emmène loin, très loin d’ici, là où l’existence s’accorde au ciel immense, où la mort peut frapper comme la foudre abat un jeune mélèze, un monde dur comme la pierre et déchirant comme la nostalgie du soleil au soir de l’hiver.
Collection(s) : Picquier Poche
Traducteur(s) : PETIT Dominique et TORAILLE Françoise
224 pages / 7,50€
ISBN-13 : 978-2-8097-1080-9
Date de parution : février 2015
« Tout est beau, d’une beauté sauvage, dans ce livre âpre venu de Mongolie et porté par le grand vent de la steppe…On a l’impression de lire un conte, d’écouter une complainte… On n’en dira pas davantage. Chez les Touvas, en effet, on prétend qu’il ne faut raconter à personne les rêves heureux qu’on a faits, et La Fin du chant est l’un des plus beaux rêves que la littérature d’aujourd’hui nous offre de vivre. »
(Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.)
Collection(s) : Picquier Poche
Traducteur(s) : PETIT Dominique et TORAILLE Françoise
192 pages / 7,50€
ISBN-13 : 978-2-8097-1081-6
Date de parution : février 2015
Dans une langue d’une beauté âpre comme ces solitudes accrochées au ciel des steppes mongoles, Galsan Tschinag conte l’histoire de Dojnaa, fière et solide à l’image de la terre qui l’a vue naître.
Abandonnée par son mari, elle élève seule ses enfants, traque le loup qui décime son troupeau, résiste aux hommes qui veulent la posséder. Elle incarne la force d’un peuple qui vit depuis toujours aux rythmes de l’eau, la terre et l’air, et porte sur ses épaules le destin d’un monde menacé.