(1968 – 1970)
Traduit par Jean-Claude Garcias
“Ne brulez pas ce livre, il y a du feu là-dedans”, avait dit son interprète vietnamien à l’agent américain. Dans ces carnets nous parvient, par-delà le temps, la voix d’une jeune femme éprise d’idéal, pleine de vie et de feu, qui parle au jour le jour de la guerre, du danger, de la solitude, du bouillonnement de ses idées et de ses sentiments, des rêves qui l’habitent pour son pays. Une voix simple, sincère, fervente.
La presse en parle(1968-1970)