Collection(s) : Picquier Poche
Traducteur(s) : CADOU Catherine
224 pages / 8€
ISBN-13 : 978-2-8097-1584-2
Date de parution : janvier 2022
A dix-sept ans, Kafû découvre Yoshiwara, le quartier des plaisirs et des courtisanes d’Edo, qui sera au cœur de toute son œuvre et particulièrement du Bambou nain.
Un peintre raté et opportuniste vivotant d’expédients et de complaisance, un antiquaire véreux, la famille suspecte d’un ancien gouverneur de province, le fils débauché d’un peintre illustre, des geishas de bas étage, tels sont les personnages de ce célèbre roman de Kafû.
Galerie de portraits surprenants et pleins d’humour, peinture satirique d’une société bourgeoise oublieuse des valeurs traditionnelles de l’ancien Japon que Kafû voyait s’éteindre devant lui avec nostalgie.
Collection(s) : Littérature
Traducteur(s) : CADOU Catherine
208 pages / 14,60€
ISBN-10 : 87730-094-3
ISBN-13 : 978-2-87730-094-0
Date de parution : janvier 1992
L’univers des quartiers de plaisir de Tôkyô au début du siècle nous est restitué dans ce roman satirique dépeignant l’envers des « saules et des fleurs » : personnages dépravés, véreux ou ratés, « geisha-culbuto » témoins de la décomposition des valeurs traditionnelles et de la naissance d’un Japon moderne.
Collection(s) : Picquier Poche
Traducteur(s) : CADOU Catherine
256 pages / 8€
ISBN-13 : 978-2-8097-1404-3
Date de parution : janvier 2019
Roman d’amour et de jalousies compliquées autour de la belle Komayo, au parfum nostalgique, dans l’intimité des maisons de plaisir.
Collection(s) : Littérature
Traducteur(s) : CADOU Catherine
224 pages / 14,10€
ISBN-10 : 87730-021-8
ISBN-13 : 978-2-87730-021-6
Date de parution : janvier 1989
« Les saules et les fleurs », c’est ainsi que l’on nommait les quartiers de geisha à Tokyo au début du siècle.
Roman d’amour et de jalousies compliquées autour de la belle Komayo, au parfum nostalgique, dans l’intimité des maisons de plaisir.
Nagai Kafû (1879-1959) évoque un Japon ancien qu’il dépeint avec la cruauté et la tendresse d’un amoureux de ce monde qu’il voyait disparaître avec amertume.