Roman érotique traduit du chinois par Aloïs Tatu
Ce petit roman pornographique datant vraisemblablement du milieu du XVIIe siècle vaut surtout pour l’originalité et la vitalité avec lesquelles son auteur conjugue surnaturel et érotisme.
Toutes les postures y sont exposées avec force détails et sans aucune pudeur, et le recours à un diablotin de moine ayant la capacité de changer de taille en autorise d’inédites.
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